Posts

Documents, Financement

Financement du système de santé et des services sociaux

Depuis de nombreuses années, le Québec est en queue de peloton quant au FINANCEMENT DE SON SYSTÈME DE SANTÉ ET SERVICES SOCIAUX. Avec un montant annuel de 5 096$ par habitant, il est la province qui consacre la plus petite part de son budget à la santé, soit 33,1%. En comparaison, la moyenne canadienne des dépenses par habitant se situe à 5 614$ par habitant (6 266$ en Alberta) et le pourcentage moyen du budget consacré à la santé est de 39,2%.

Documents, Mémoires

Un projet de loi à retirer … Un processus à reprendre (PL-25)

Pour nous, comme pour d’autres, le projet de loi 25 est un projet de loi issu de nulle part et qui ne mènera nulle part puisqu’il fait table rase des acquis du système québécois pour leur substituer des solutions préfabriquées dans des officines ministérielles. Il met de l’avant des solutions pour le moins controversées et il ignore les larges consensus sociaux.
 

Documents

Prébudgétaire – Pour une véritable priorité à la santé

La Coalition Solidarité Santé s’insurge contre le discours selon lequel nous n’aurions plus au Québec les moyens de la solidarité sociale et les moyens de préserver l’intégralité du système de santé et de services sociaux au Québec. Pour nous, ce n’est pas une question de moyens mais bien une question de choix.
 
Dans tous les sondages, la population exprime le même point de vue : elle préfère renoncer aux baisses d’impôts que de renoncer aux services publics, notamment ceux en santé et en éducation.

Documents, Mémoires

Le Commissaire à la santé et au bien-être : Des droits collectifs à énoncer, des assises démocratiques à consolider, une indépendance à imposer, des fonctions à mieux cerner, des ressources à bonifier (PL-38)

Nous nous permettrons, pour conclure, de faire une appréciation générale du projet de loi 38. Vous aurez sans doute compris que la Coalition Solidarité Santé ne rejette pas d’emblée l’institution d’un commissariat à la santé et au bien-être au Québec. Par ailleurs, il est évident que nous ne sommes pas disposés à sacrifier le Conseil de la santé et du bien-être pour ce faire.  Il est tout aussi manifeste que le projet de loi devra être bonifié substantiellement  si le gouvernement veut effectivement aller de l’avant.

Scroll to Top